Après plusieurs mois d’absence, je peux dire que j’ai bien digérer les fêtes de fin d’années.

J’étais en Hongrie aussi accessoirement. Je ne peux rien vous dire à ce sujet, on est dans le tabou le plus complet sur ce que peut produire la Hongrie sur l’état d’esprit humain.

Me revoilà, prêt à reprendre le flambeau.

Le flambeau de quoi ? Je ne sais pas. Vous me direz.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Set your Twitter account name in your settings to use the TwitterBar Section.